Unvrai délice ces petits pains au lait de ma mamie facile & rapide Mettez tous les ingrédients dans le robot. Lancez le programme pâte. Sortez la pâte et formez des petits painsAujourd’hui, je vous propose de délicieuses petites gourmandises. Des petits pains au lait, ultra moelleux, qui égaieront vos petits déjeuners, je vous le garantis! Je fais souvent de la brioche, mais je n’avais encore jamais testé les pains au lait, alors que j’adore ça depuis toute petite. Pour mon premier test, je me suis donc fiée à ma bible, Pâtisserie ! L’ultime référence, de Christophe Felder en tout cas pour les proportions, après le reste j’ai fait un peu à ma sauce. Comme toujours avec ce livre, ça a été une réussite 🙂 Du fait maison pour satisfaire mes gourmands en vacances. Les pains au lait ont une mie un peu plus serrée que la brioche à mie filante, mais pour les petits déjeuners ils sont parfaits. Pour réaliser cette recette il vous faudra les ingrédients suivants Ingrédients 600 gr de farine 310 ml de lait 1 sachet de briochin 1 cuillère à café de sel 1 oeuf + 1 pour dorer facultatif 60 gr de beurre mou 3 cuillères à soupe de sucre 1 sachet de sucre vanillé. Préparation Comment préparer Les petits pains au lait de ma mamie Mettez tous les ingrédients dans le robot. Lancez le programme pâte. Sortez la pâte et formez des petits pains une fois le programme fini. Laissez gonfler encore 30 minutes. Chauffez le four à 200°. Badigeonnez les petits pains avec un jaune d’œuf + lait + sucre.
6 avril 2017 4 06 /04 /avril /2017 0514 Je vous propose un p'tit dej' de qualité avec ces pains au lait dont vous me direz des nouvelles. Cette recette est vraiment très au point et si j'en crois mon peu d'expérience, je pense qu'elle sort tout droit d'un livre d'école pro, genre préparation du CAP en la photo, trouvée sur facebook, à partir de laquelle j'ai rédigé la recette que vous trouverez ci-dessous. Merci à la généreuse personne qui a bien voulu partager cette perle rare. Je n'ai rien changé aux proportions, ayant opté pour 500g de farine. Par contre, j'ai mis mon petit grain de sel au niveau parfum... Les 150g d'eau ont été transformés en 120g d'eau, 10g d'essence de vanille liquide et 20g d'eau de fleur d'oranger. Vous constaterez que les images racontent mieux que moi la légèreté de la mie et le plaisir que procure la dégustation de ces viennoiseries. Il vous faut 500g de farine T55150g d'eau à 54°10g de sel fin60g de sucre en poudre30g de levure fraiche150g d'œufs battus25g de poudre de lait150g de beurre doux et froidPétrir tous les ingrédients réunis dans la cuve du robot, à l'exception du beurre. Compter 4 minutes sur la vitesse 1 et 6 minutes sur la vitesse la consistance de la pâte qui doit se détacher progressivement de la cuve. Incorporer le beurre coupé en petits morceaux et continuer à pétrir sur la vitesse 2 pendant encore au moins 5 minutes, le beurre devant être complètement intégré à la pâte. Rassembler la pâte en une boule dans la cuve à l'aide d'une corne à la cuve d'un torchon et laisser lever la pâte environ 1h à température ambiante et à l'abri des courants d' bout de ce temps de repos, dégazer la pâte en la rabattant en boule dans la cuve, puis couvrir à nouveau la cuve et laisser lever la pâte dans le réfrigérateur environ 10 heures, même plus, en prenant soin toutefois de la rabattre à nouveau au bout de 4 à 5 heures de fermentation au froid. Sortir la pâte du réfrigérateur, la laisser revenir à température ambiante environ 2h, puis la débarrasser sur le plan de travail légèrement fariné et la diviser en pâtons d'environ 100g chacun, leur donner la forme souhaitée navettes, tresses ou petites brioches.... Les disposer sur une plaque à pâtisserie garnie de papier sulfurisé. Laisser pousser dans un endroit tempéré pendant 1h la surface des petits pains briochés à l'aide d'un pinceau avec un œuf battu coupé d'un filet d'eau. Saupoudrer de grains de le four à 180°.Enfourner et laisser cuire entre 15 et 20 minutes vérifier la cuisson à l'aide de la pointe d'un couteau qui doit ressortir sèche. Il faut savoir...Le temps de pousse varie en fonction des saisons il sera plus long en hiver et plus rapide en été. Pour mieux le contrôler, on peut laisser la pâte pousser dans un four préchauffé à 30°, puis éteint. imprimer la recette Toutes les fiches à imprimer sont illustrées pour que vous puissiez réaliser un joli recueil de vous voulez suivre l'actualité de ma cuisine, n'oubliez pas de vous inscrire à la rubrique Avis de nouveaux articles ! Pour information, lors de votre inscription, cochez simplement la case concernant la publication des articles Je vous remercie pour vos visites et vos commentaires que je lis toujours avec beaucoup d'attention. mamie caillou Publié par mamie caillou - dans les PAINS et les Viennoiseries
Ajouterma photo. Soif de recettes ? On se donne rendez-vous dans votre boîte mail ! Découvrir nos newsletters. Petits pain au lait maison. Pain au lait. Pains au lait aux pépites de chocolat (sans levure boulangère) PLUS DE RECETTES. Cookies coeur de chocolat au lait et pépites de chocolat. Petit pain express. La Pépite. Muffins aux pépites de chocolat. Cookies aux pépitesJ’ai découvert les Dampfnüdle ou Dampfnudel, il y a quelques années, grâce à mon amie belge June. June Tu connais les Dampfnüdle ? » Moi avec des gros yeux tout ronds Des quoi ? » June Des Dampf-nu-deul ! Il faut absolument que tu goûtes ! C’est une spécialité alsacienne très ancienne, une sorte de boule de pain cuite à la vapeur toute gonflée, avec une texture ultra-moelleuse. C’est incroyablement bon ! Et puis… » Je ne me souviens pas de tout ce qu’elle m’a dit précisément sur le Dampfnüdle mais elle me l’a sacrément bien vendu. Je crois bien que je pourrais écrire toute une page de son laïus. Sa description dithyrambique a tellement titillé ma curiosité que j’ai vite pris sa suggestion comme une injonction, un impératif absolu à mettre tout en haut de ma to-do-list ! Je me suis donc rendue dans l’échoppe qu’elle m’a conseillée rue d’Austerlitz à Strasbourg, le Panier des Pâtes, pour acquérir ce précieux Dampfnudel. Je crois bien même que nous y sommes allées toutes les deux. Un comble, non ? Découvrir une spécialité alsacienne fabriquée par un traiteur italien grâce à la recommandation d’une amie belge ! Bref, voilà comment le Damfnüdle est rentré dans ma vie et n’en est jamais ressorti ! Mordre dans un Dampfnüdle, c’est vivre la sensation d’embrasser tout entière l’Alsace et sa tradition culinaire. C’est ressentir l’émotion des bonheurs simples et authentiques qui ont bercé les enfances de nos mamamas et papapas mais aussi celle de leurs aïeux. C’est intemporel, rustique et réconfortant. Savourer un Dampfnüdle, c’est comme croquer l’Alsace à pleine dents ! Et puis un jour, j’ai rencontré Mamie Georgette, un sacré bout de femme de 78 ans, avec un tempérament bien trempé et un coeur gros, comme un Dampfnüdel, qui n’aurait pas fini de gonfler. Georgette, originaire de Roppenheim, a eu une vie bien remplie… Trois enfants, un travail de secrétaire chez un professeur de la Faculté de médecine, 4 petits-enfants maintenant. Elle a dirigé des centres de vacances, a été organiste pendant 60 ans et chef de choeur pendant 30 ans. Elle a même donné des cours d’orgue. Certaines de mes élèves sont maintenant grand-mères, s’amuse-t-elle ». Et puis, en maman ultra-moderne et avant-gardiste qu’elle était, présente sur tous les fronts comme le sont les mères d’aujourd’hui qui jonglent entre le boulot, les tâches ménagères et les activités familiales, Georgette a évidemment passé beaucoup de temps en cuisine. Quand nous nous sommes rencontrées, grâce à mes parents ils sont amis, nous avons parlé grumbeerkiechele, apfelkiechle, baeckoffe… et bien évidemment Dampfnüdle ! La tradition voulait qu’on les déguste chez elle, comme dans nombre de familles alsaciennes, avec une bonne soupe et de la compote de pommes. J’ai tout de suite rêvé être mise dans la confidence de la recette de Georgette, qui a appris à faire les Dampfnüdel non pas avec sa maman mais avec sa grand-maman qui la tenait sans doute elle-même de ses aïeux. C’est à peine si j’ai osé en formuler la demande, mais je n’ai même pas eu à argumenter, Mamie Georgette m’a ouverte toutes grandes les portes de sa maison et de son coeur. Je l’ai retrouvée chez elle un matin. Elle s’était levée avant 7h pour faire la pâte et lui laisser le temps de lever. Les petites boules étaient déjà formées, la table joliment dressée avec au centre un saladier de compote de pommes maison. Nous avons fait cuire les Dampfnüdle ensemble dans une cocotte en fonte. L’opération a duré une bonne heure. Mamie Georgette avait vu grand avec ses 60 Dampfnüdels. Tant qu’ à se donner du travail, autant rentabiliser l’investissement ! Elle m’explique qu’elle en fait toujours des quantités astronomiques pour en distribuer autour d’elle et faire ainsi plaisir à ses voisins et ses amis. La cuisson des Damfnüdle terminée et la soupe moulinée, nous nous asseyons à la table de la cuisine. Mamie Georgette sort son carnet de recettes et m’explique la marche à suivre. Puis la sonnette retentit. Elle a invité mes parents pour que nous partagions tous ensemble le repas typique de son enfance. Puis un deuxième coup de sonnette. C’est son amie Marie, une mamie alsacienne elle aussi. Vient le moment de passer à table. Une courte prière de Mamie Georgette pour bénir les Dampfnüdle préparés avec amour, la soupe de légumes et la compote qui trônent sur la table ! Et nous voilà savourant une pure et authentique tradition alsacienne ! Les deux mamies se remémorent les repas de leur enfance et les petites habitudes propres à chaque famille. La bouteille de vin rouge bouchonnée apportée par mon père donne lieu à quelques boutades et franches rigolades. Mamie Georgette ne se laisse pas démonter le vin rouge imbuvable est vite remplacé par un petit blanc délectable. La soupe est excellente. La compote délicieuse. Et les Dampfnüdle… Ils sont plus que bons, plus que fameux, comment vous dire… ils sont merveilleux ! Mamie Georgette nous a offert plus qu’un repas ce jour-là , un moment de partage unique et précieux ! Et elle m’a aussi et surtout fait l’immense cadeau de sa recette que je partage aujourd’hui avec vous. Il y a deux ou trois choses à savoir pour réussir ses Dampfnüdle. Mamie Georgette conseille de sortir tous les ingrédients du réfrigérateur plusieurs heures avant de se lancer dans leur fabrication voire la veille pour qu’ils soient à température ambiante. Pour que la pâte lève-bien, n’hésitez pas à la faire pousser près d’une source de chaleur, à côté d’un radiateur par exemple ! Et bien-sûr, la cuisson se fait idéalement dans une cocotte en fonte dont le couvercle permet une fermeture bien hermétique. Dernier petit conseil, ne soyez pas trop pressée, c’est une recette qui prend toute une matinée ou toute une après-midi entre les temps de pousse et la cuisson. Mais le jeu en vaut vraiment la chandelle. A vous de jouer maintenant ! Et si vous avez envie de vous régaler d’un excellent Dampfnudel mais pas nécessairement celle de vous mettre aux fourneaux, je ne connais qu’une seule adresse qui en propose de fameux d’ailleurs à Strasbourg, le traiteur italien, dont je vous ai parlé plus haut. Pour une trentaine de Dampfnüdle Les Dampfnüdle de Mamie Georgette sont salés, c’est ainsi qu’elle les connaît et les aime depuis l’enfance. Mais sachez qu’il existe aussi une version sucrée peut-être à prévoir aussi sur le blog un de ces jours ! 500g de farine 25g de levure de boulanger 2 oeufs de taille moyenne 50 g de beurre 25 cl de lait 1 cà c de sel 1 c à c de sucre huile La pâte Délayer le sucre, le sel et la levure de boulanger émiettée dans du lait préalablement tiédi. Versez la farine dans un cul de poule ou bassine. Formez- y un puits. Battez les oeufs. Versez-les dans le puits. Et commencez à pétrir en ajoutant le beurre coupé en petits morceaux et le lait délayé avec la levure en plusieurs fois. Travaillez la pâte en la soulevant jusqu’à ce qu’elle se détache de la bassine et ne colle plus aux doigts. Posez un torchon humidifié sur le cul de poule et faites-lever pâte près d’une source de chaleur pendant au moins une heure. Dégazez la pâte en la retravaillant un peu. Le façonnage Ensuite vous avez le choix entre deux méthodes pour former les Dampfnüdle. Soit vous abaissez la pâte sur 3 cm avec un rouleau et vous formez des rondelles en la découpant avec un verre passé dans la farine. Sinon, vous pouvez aussi prélever un morceau de pâte avec une grande cuillère et former une boule entre vos mains. Déposez vos rondelles ou boules de pâte sur un plan de travail ou une planche farinée. Laissez-les lever deux heures sans doute moins en été quand il fait très chaud. La cuisson Faites chauffer environ 10 cl d’huile dans le fond de votre cocotte. Quand l’huile est bien chaude, rangez les rondelles ou les boules dans le fond de la cocotte en laissant un peu d’espace entre chacune car elles vont gonfer à la cuisson. Saupoudrez-les d’un peu de sel. Laissez cuire une petite minute, ajoutez un verre d’eau tiède environ 20cl et refermez immédiatement le couvercle. Faites-les cuire ainsi cuire pendant au moins 5 minutes, vérifiez que le côté au contact du fond de la cocotte présente une jolie petite croûte dorée et si c’est le cas, retournez-les pour les faire cuire de même de l’autre côté en pensant à refermer le couvercle. Si ce n’est pas le cas, poursuivez encore la cuisson et revérifiez quelques minutes après. Attention à ne pas les faire brûler. Au besoin, n’hésitez pas à ajouter un petit peu d’eau. irkC.